2013-01-19

La PIETA, le célèbre chef d'oeuvre de Michel-Ange

Émilie Gamelin a beaucoup contemplé cette représentation de Marie suite à ses nombreux deuils : père, mère, époux et ses trois fils. Elle y a trouvé la force de continuer à vivre. 

           

 Avec l’auteur de cet article, laissons-nous émouvoir.


Dans cette magistrale sculpture de Michel-Ange, nous sommes éblouis par la tendresse de cette mère Marie qui tient dans ses bras son Jésus crucifié. Son visage penché sur ce corps inerte et affaissé démontre une dignité éblouissante et une très grande fierté.  Par l’attitude sereine de son visage, la Vierge imprègne à cette sculpture une noblesse hors du commun.

Quand on contemple une telle œuvre d’art, on ressent toute la beauté et l’énergie qui peuvent, sous les saccades d’un marteau et d’un ciseau, émaner d’un bloc de marbre.  Peu à peu le génie de l’artiste donne vie à ses personnages : un à un leurs membres surgissent de la pierre.  Grâce à la magie de l’artiste, un bloc de marbre devient l’un de nous et nous questionne sur notre beauté.  Devant de tels chefs-d’œuvre, nous ressentons des sentiments profonds d’éternité et de transcendance.  La Pieta de Michel-Ange nous transporte au-delà du Calvaire.

Quand j’ai pu admirer cette sculpture dans l’entrée de la Basilique Saint-Pierre de Rome, mon cœur s’est emballé et mes genoux ont fléchi.  Pendant quelques minutes, j’ai ressenti une plénitude indescriptible.  Les arts ont cette capacité de nous faire vivre des fascinations intenses qui déposent en nous des parcelles d’éternité.

La Pieta est ineffable ! Quand nous nous retrouvons à quelques mètres de cette sculpture, nous avons l’impression de pénétrer dans un autre monde , une autre dimension !

Richard B.
(N.D. du Cap)





2013-01-11

Vous trouverez la reproduction de cette brochure sur:

http://www.ecrits-libres.fr/lireunlivre-2-2996-Mere-Gamelin-femme-de-compassion.html

Publiée en 1984 par le Centre Émilie Gamelin, elle trace d'une façon simple, claire et nette le vécu de cette grande dame qui a évoluée dans un Montréal où les misères de différentes formes ne manquaient pas.